Il faudrait marcher. La station
debout n’est plus que dérèglement.
Un déséquilibre qui prend la
forme d’une lourde bulle, venue de sous le pied, et qui s’est hissée vers le
genou, puis vers le bassin, avant d’atteindre la nuque et de redescendre pour mieux
pouvoir rebondir, encore, en un rythme irrégulier qui ne suit pas-même celui
des vagues. La lourde bulle voyage, et je bascule un peu.
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