Poésie de supermarché ?
Entre deux rayons, face aux têtes de gondoles,
Certainement arrosées d'huile de coude,
Des jambes poussent, pieds vers le haut, d'un pot vert.
Signe d'un printemps qui s'est trop fait attendre, sans aucun doute.
Je vous laisse les bas et les ballerines, merci. Je ne prendrai que la photo, le temps de la compassion pour les contorsionnistes là-dedans, puis la poudre d'escampette.
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