À Paris en aout, on se colimaçonne,
on étire son pas pour que chaque marche compte, on regarde le quidam faire ce que l'on fait : photo touristique que l'on voudrait unique, mais les idées sont comme une couche d'ozone, percées par endroits mais presqu'universelles.
Tant mieux, sûrement.
À Paris en aout, si l'on s'oublie soi-même, on oublie que touriste, on l'est un peu aussi.
Un peu ? Complètement.
"De la Province" ? On est pas up to date, on réside en région, et que ça change tout.
Pendant qu'à Paris, les parisiens du coin vont aller voir ailleurs, en région,
si ils y sont aussi.
Allez comprendre.
Bon sang, c'est calme et beau, ici.
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